L’invention chrétienne du péché

Eh oui, ça existe. Quoi ? L’invention chrétienne ou le péché ? C’est à voir.

Le judéo-christianisme, si souvent considéré comme une source de culpabilisation pour l’être humain, n’a-t-il pas paradoxalement une parole originiale et libérante à faire entendre sur le “péché" ?
N’y a-t-il pas en particulier une véritable invention, un véritable génie chrétien du "péché” et cela, tant sur le plan anthropologique (une certaine approche du mal) que proprement théologique (felix culpa) ?
En ce sens, ne devrait-on même pas parler d’une bonne nouvelle du “péché" ?
"Nous ne sommes pas mauvais, nous ne sommes que pécheurs ” (A. Gesché)

fécondité et réception

Il y en a des trompe couillon dans ce monde comme quoi les hommes donnent et les femmes recoivent. Bien sûr que non.

La nativité est considéré comme une réception, mais hommes et femmes tous nous devons accueillir Jésus. Qu’est-ce qu’on accueille dans ces cas ? C’est l’événement le plus inoui qui puisse se produire en terme humain. C’est le plus grand qui c’est fait le plus petit contre toute logique. Et c’est bien de notre logique qu’il s’agit. Quand nous voyons 100 signes blanches, alors nous disons que tous les signes sont blancs, mais si le 101 signes est noirs, alors nous disons toujours que les signes sont blancs avec une exception à la règle. C’est rare que l’homme arrive à la conclusion que sa théorie sur les signes est peut-être mauvaise.
Noël est de cette ordre. Jusque-là nous croyons que l’homme est un affaire humaine, mais depuis là naissance de Dieu en tant qu’homme, il faut dire que la théorie doit être revu.
Ayant donc notre réception près pour l’accueillir.
Et puis il faut le donner, là où nous sommes. Nous ne pouvons que véritable terminer la réception que si nous la terminons par le don. Le don accomplit l’acte de recevoir. C’est Dieu le Père lui-même en premier qui en a conscience. En recevont l’homme à la création, il devait le rendre à lui. Il ne pouvait le faire qu’en tant que don de lui-même en son Fils. Le don de son Fils accomplit l’oeuvre de la création.
Nous sommes éternellement pris dans le cercle de donner et recevoir. Dès que nous gardons pour nous, c’est foutu.

L’année des trois compagnons

Les jésuites célèbrent les trois compagnons Ignace de Loyola, François-Xavier, Pierre Favre.

C’est énorme l’héritage des jésuites en Europe. Mais pour moi François-Xavier reste une figure de proue pour toute une vie. Il suffit de lire sa correspondance ou sa vie écrit par le Père Léon Dufour.

Sean Connery : un héro

C’est à prendre avec une pincée de sel évidemment.

Ce que je veux dire est qu’il fait de très bon film. Il suffit d’aller voir sur son site perso www.seanconnery.com. En plus il fait l’éloge de son épouse, et de ce qu’elle est dessiné.
The Rock, Haut Voltige, et tant d’autres sont pour moi des chefs d’oeuvre de suspense. En plus avec son caractère très British, cela vaut la peine. J’oublie encore à le recherche de Forrester, qui vaut aussi la peine.

Le leitmotiv : patience

Dans le film de Sean Connery : Rising Sun (1993), il y a plusieurs dicton. Celui que j’adore

est :
il suffit d’attendre et vous verrez arriver sur la rive le corps de votre ennemi.