Notre société devient-elle féminine ?

Notre monde devient-il de plus en plus féminine.

Suite à me lecture d’un Jean-Pierre Lebrun ou d’un Tony Anatrella, je le pense. Cela veut dire que notre monde occidentalme européen fonctionne de plus en plus sur le schéma de la femme symbolique telle qu’elle est décrite dans la psychanalyse.

Dans la psychanalyse, la femme est celle qui est proche de l’enfant, le père désigne la distance. C’est elle qui l’introduit dans le monde du toucher et des sentiments. Le père est celui qui introduit l’enfant dans le monde de la parole et de la séparation.

Notre monde fonctionne de plus en plus sur ce modèle de fusion :

 vivre avec ses sentiments

 vivre dans l’immédiat

 abandonner l’intelligence et l’approche rationnelle

 vivre dans un monde relatif où tout le monde a raison (c’est-à-dire qu’on ne reconnait plus La Vérité)

 vivre dans un monde sans distance suite à la communication omni-présent

 transmission de l’inquiétude au lieu de l’assurance

Illusion du monde sans limite

“Le pire ennemi de l’infini dans l’homme, c’est l’illimité qui donne l’illusion de l’infini, et qui le cache. Tant qu’un être peut aller de l’avant et que la borne de sa puissance, de son amour ou de sa liberté recule devant lui, il ignore l’infini et ne sait rien de Dieu. Ce n’est qu’en se heurtant contre sa propre limite qu’il découvre l’infini. Dieu est toujours derrière la porte impossible à franchir.”


Il me semble que cette phrase dit surtout que dans notre foi, il n’y a rien de pire que de croire que le monde est sans limites, et donc que je suis sans limite. Croire que le monde est sans limites cache celui qui est sans limite, Lui le Seul et Unique.

Réussir l’impossible

“Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait”
J’ai enfin trouvé de qui est la phrase. C’est Samuel Langhorne Clemens, dit Mark TWAIN (1835 – 1910).

Il me semble qu’elle est propre pour ceux qui ont la foi. Bien sûr que la foi est beaucoup plus que la foi en Dieu. Nous vivons dans un monde où nous donnons notre foi en constance aux gens en espérant de ne pas être trop déçu. La phrase ici dépasse tout. Elle rend l’échec impossible. Et si l’échec n’était qu’un leurre ?