Et si Dieu était communication

Depuis un weekend aux Pays-Bas je ne vois plus Dieu de la même manière. De ce personnage que nous avons rapprocher de l’humain, pour le faire ressembler à nous, nous avons un énorme mal à l’imaginer différent de nous. Saint Ignace de Loyola a une vision qu’on appelle la vision du Cardonner. Cette vision peut se définir par voir Dieu en toute chose et toute chose en Dieu.

Une fois qu’on a compris, ou vu, Dieu de cette manière, on s’éloigne de toute personnalisation de Dieu. Dieu n’est pas une personne au sens humain. Dieu n’a pas de penser, ni de volonté, ni de mémoire, ni de yeux qui regarde l’humain à travers un triangle. Si on peut définir Dieu de manière négative, alors il doit être aussi possible de le définir de manière positive.

La première chose est que Dieu est en toute chose, et toute chose en Dieu. Cela veut bien dire qu’il doit être d’une matière qu’on appelle spirituelle pour le détacher de notre matérialité. Il est également celui qui a créé l’univers, mais pas à la manière d’une menuisier qui construit un armoire. Ce Dieu se confond quelque part avec sa création. Il est partout, et nulle part (puisque les choses ne sont pas divines).

Et si Dieu était communication, cela veut dire qu’il est dans tout ce que nous disons, signifions aux autres humains. Si Dieu était aussi insaisissable que le réseau internet. Un flux continu qui ne s’arrête jamais. Son lieu de prédéliction est la parole, le langage dont on ne peut donner l’origine contrairement à la terre qu’on a chiffré à quelques milliard d’années. Le langage n’a pas d’origine tout comme Dieu. Le propre de l’homme est de parler et de communiquer d’une complexité incroyable et qui régit notre conscience faite de langage. Une fois qu’on dit que Dieu est

 

Diaconat Commun des Fidèles

Comme en 2007 pour la théologie de la communication, personne n’a encore écrit sur le diaconat commun des fidèles en lien avec diaconat ministériel, et en parallèle avec le sacerdoce commun des fidèles qui est lié au sacerdoce ministèriel appelé aussi le presbytéral. Inutile de dire que personne n’a encore entendu parler du premier, mais que tout le monde connaît le deuxième, en tout cas les habitués de la théologie du Vatican II.

La source du ministère est le Christ, et le Christ a deux mystères important de sa vie sur terre : l’Incarnation et la Résurrection ou encore la fête de Noel et la fète de Pâques. C’est deux fêtes vont avec le Christ Serviteur (Incarnation) et le Christ Sacerdoce (Pâques).

C’est en méditant le mystère de la nativité qu’on peut comprendre le diaconat, et c’est le mystère de la Résurrection (qui commence le Jeudi Saint) qui éclaire le presbytéral.

Au lieu de faire glisser une distinction somme toute artificielle dans le sacerdoce qui recouvre aussi bien le presbytéral et le diaconat, il est plus historiquement juste de dire que le presbytéral venant des apôtres via les évêques (les prêtres sont des petits évêques) est différent du diaconat, et que le sacerdoce du Christ se retrouve dans l’éveque et dans un moindre dégrée dans le pretre.

Le diacre tire toute sa référence du Christ Serviteur, et pas du Christ grand prêtre. Malheureusement il y a eu trop de prêtre qui ont réfléchit au diaconat. Ce Christ Diacre est le fondement du diaconat, et tout prêtre a bien été ordonné diacre avant pour bien faire comprendre que la fondation du ministère n’est pas la célébration eucharistique mais le service. Quelle révolution dans l’Eglise si on comprend que l’eucharistie n’est pas la fondation de l’Eglise mais le service du plus petit. Ce sacrement du service, celui qui rend le Christ présent dans le tout petit. Ce que vous avez fait au tout petit, c’est à moi que vous l’avez fait.

Votre prochain ordinateur

Le monde change, l’informatique aussi.

Votre prochain ordinateur ne sera pas un ordinateur.

Il n’y a pas un moment que le champs l’informatique bouge, change, se déplace, augmente encore et encore.
Bref, votre prochain ordinateur sera remplacer par un autre outil à puce, à moins que vous êtes conservateur et que vous allez être contraint de changer.

« Your next computer is not a computer »