Comment aimer l’Eglise ou comment faire son crise d’adolescence

Avec les evenements et surtout les critiques et les défenses, peux-t-on encore aimer l’Eglise. Ma réponse est oui.

Surtout ce qui m’étonne que des non-croyants s’occupent tellement des opinions du pape ….

Puis il faut dire surtout que je peux aimer l’Eglise parce qu’elle est pécheresse, comme moi je le suis. C’est bien plus difficile de s’identifier à des personnes parfaites.

Puis je l’aime comme mes parents. J’ai fait ma crise d’adolescence quand j’étais jeune. Maintenant je n’ai plus besoin de les critiquer, je sais qu’ils ont des défauts et j’arrive à les dépasser.

Beaucoup de personnes n’ont jamais fait cette crise d’adolescence par rapport à l’Eglise.

J’arrive à le dépasser parce que je m’attache à l’essentiel : Le Christ et ce qu’il signifie pour moi, et parce que je le vois présent dans les laics et le clergé qui le cherche.

Si la foi personnelle est une notion vide, alors on s’arrête à des critiques, et cela devient un début d’idées. Jésus justement a dit de dépasser les débats d’idée. Le sens de la vie n’est pas dans nos réflexion mais dans nos coeurs.

Réussite et échec

Je me rends compte de plus en plus, que tout le monde est prêt pour attribuer la réussite à Dieu, à la prière, une intervention du Saint-Exprit ou la providence. Par contre, l’échec ne vient pas de Lui ou quelque chose de bon.

L’échec nous en avons peur, cela nous met de mauvaise humeur, etc.

Et pourquoi ne pas accepter l’échec comme la réussite. Il n’est pas plus présent dans l’un ou dans l’autre. Il est là tout court.