Le clergé local

Selon notre livre sur l’histoire de l’église, 200 ans de mission en Afrique, Asie et Amérique par des missionaires européens ont montré qu’il faut priviligié le clergé local. En d’autres mots, le clergé qui vient de la région où est proclamé la Bonne Nouvelle. Les missionaires européens ont fait tellement d’erreur hors de chez eux, il faut quand-même bien réfléchir avant d’avoir le même problème chez nous.

Cela mène automatique à la question d’une théologie du métissage. Sommes-nous prêt pour le métissage et est-ce que l’autre est prêt ?

Le diacre et la célébration

Les prêtres sont bouffés par les célébrations, est-ce que les diacres doivent l’être aussi ?

Si ce ne sont pas les diacres qui s’occupent de diaconie dans l’église, personne ne le fera.

Voilà quelques paroles de Jean-Maurice JACQUES, curé-doyen principal de Bastogne.

Critiquer ces supérieurs

Peu importe où l’on va, les supérieurs ne sont jamais à la hauteur.

Dans l’église, c’est par exemple monseigneur Léonard.

Dans l’école, c’est le ou les directeurs d’établissement.

Dans le département, c’est le directeur de département.

Dans la famille, c’est le père et la mère.

De toute façon, personne est à la hauteur. Ce qui est commun dans toutes ces opinions, c’est que les personnes ont une opinion très précise à propos de son supérieur, et qu’il ou elle connaît très bien, et en plus il y a beaucoup d’exemple qui le montrent.

Avec mon épouse, qui est en théorie la personne que je devrais connaître le mieux, je me rends compte que c’est probablement la personne que je connais le moins.

Pourquoi ne pas avoir la même attitude envers nos supérieurs ?

Le chantier paroissial

Nous entendons de plus en plus parler du chantier paroissial. Cela semble très intéressant.

Les communautés paroissiales doivent devenir des communautés géré par des laics dont les prêtres sont les animateurs.

Cela veut dire la mise en place de conseils et autres pour gérer, provoquer, canaliser les énergies.