Votre prochain ordinateur

Le monde change, l’informatique aussi.

Votre prochain ordinateur ne sera pas un ordinateur.

Il n’y a pas un moment que le champs l’informatique bouge, change, se déplace, augmente encore et encore.
Bref, votre prochain ordinateur sera remplacer par un autre outil à puce, à moins que vous êtes conservateur et que vous allez être contraint de changer.

« Your next computer is not a computer »

Servant Leadership

On ne peut assez insister sur servant leadership et son importance. Il s’agit de bien le développer surtout en francophonie où c’est trop peu connu.

Voici un lien pour aller consulter : https://hbr.org/2018/04/how-humble-leadership-really-works

Tu seras un homme

Le livre de Martin Steffens est à lire pour tout le monde, homme ou femme. L’auteur parle super bien de l’équilibre entre le masculin et le féminin. Encore aujourd’hui une femme me dit que les hommes ne pourront jamais comprendre le corps d’une femme. Et que justement cela doit être ainsi. Notre corps reste une mise au monde non désirée, mais justement l’assumer est assumer sa liberté. Au dessus de la liberté de choix, il y a liberté du possible. Quand on n’a plus le choix, le choix libre est d’assumer ce qu’on ne peut choisir. C’est là une liberté encore bien plus grande, que la liberté de choix. C’est cela qui fait que Nelson Mandela a pu rester en prison tout en étant plus libre que jamais.

Pourquoi les hommes quittent des femmes bien

C’est de l’inspiration d’un article apparu en Anglais sur Medium.

Je vois trois points principaux qui font qu’un homme se sent bien (et sans doute cela vaut aussi pour une femme).

1° Lui laisser un part de gestion de la maison-foyer, laisser prendre des décisions

2° Lui laisser le temps de faire ces trucs

3° Ne pas trop insister quand il n’est pas prêt à communiquer

L’homme a besoin d’être en charge, de se sentir responsable de quelque chose. Cela lui donne un sentiment d’utilité à ce monde. Des femmes qui gèrent tout n’ont pas d’intérêt.

L’homme a besoin de faire des choses masculines, comme regarder le foot, conduire la voiture, s’investir dans les finances, écrire un doctorat inutile, etc.

L’homme a un chemin de communication qui n’est pas aussi spontané que les femmes. Il lui faut plus de temps pour dire les choses et en plus généralement il raconte moins.

Androcentrées et phallocratiques

Voilà ce que je lis : notre société est androcentrées et phallocratiques.

Andros est en grec un homme de sexe masculin. La société serait donc centrée sur la homme mâle.
Phallocratie désigne une société qui préconise la domination de l’homme masculin sur la femme. Le Proudboys américain en sont un exemple.

Je me demande quand-même sur la performativité de ce genre d’expression. Le dire c’est le créer. Est-ce que les spécialistes du défense de la femme en ont conscience ?
Surtout que ce n’est justement pas ce que veulent ni les hommes ni les femmes normalement constitués. Ce qu’il faut c’est une société avec une relation femme-homme équilibrée.

Du coup, on fait des recherches comment être féministe sans être étiqueté de féministe, et pareillement comme défendre la position de l’homme masculin sans être phallocrate ?
Tout cela est possible à condition qu’on arrête de croire qu’on a inventé ce débat au 20e siècle et qu’on croit que les femmes se sont laissées faire pendant des siècles sans lever la voie et de trouver leur juste position.
C’est bien là une opinion bien androcentrée.

La souffrance comme force ascensionnelle

Pierre Teillard de Chardin nous dit ceci :

« Dans la souffrance est cachée, avec une intensité extrême, la force ascensionnelle du Monde. Toute la question est de la libérer, en lui donnant la conscience de ce qu’elle signifie et de ce qu’elle peut. »
Hymne de l’Univers, p. 100

Ceci est tellement vrai. Aujourd’hui nous vivons dans un monde où l’on attend sans cesse de se faire plaisir. Quand un coureur cycliste ou tenniswoman fait quelque chose pour son sport de haut niveau : « tant que j’ai du plaisir ». C’est qui est vrai, mais cela masque la souffrance et l’effort consenti pour avoir du plaisir ou mieux le bonheur puisque le plaisir et le bonheur non sont pas la même chose. On les mélange beaucoup dans notre société hédoniste pour une partie.

Quand on dit qu’on se dépasse, quand on fait 60 heures semaines, quand on travaille dans la construction ou à l’hôpital, on ne peut pas dire que à tout moment on poursuit la maximisation du plaisir. Dans certains métier, la force physique ou mentale permettent d’aller au-delà. C’est profondément accepter la souffrance. Il ne faut pas réduire la souffrance à la souffrance d’une blessure ou d’une opération à l’hôpital.

On n’obtient rien sans l’effort et aller au-delà des limites, d’aller au-déla de la souffrance. Celui qui a accepté la souffrance, n’a plus peur de rien. celui qui a accepté d’être désarmé face à la souffrance, est invincible. Il a déjà dépassé la souffrance avant même qu’elle n’arrive. C’est pour cela que dans la souffrance est caché la force ascensionnelle du monde.

Dans le même genre, les montagnards savent de quoi on parle. La vie à la plage est tellement plus facile. Dans ce genre, le film ‘Tout là-haut’ montre quelque chose de cette force de la montagne ou pousser l’homme au-dela de ses limites, et du coup à se transcender lui-même.

Un avis sur notre appel humain

La femme et l’homme sont appelés à accomplir quelque chose sur cette terre. Je ne parle pas de grande vocation, mais des choses simples d’abord et pour certains des grandes choses.
Ce qui est pourtant certain que chacun de nous est appelé à à quelque chose. Chacun, nous pouvons penser à ce que nous devons faire autour de nous, et d’abord en nous. C’est par là que le chemin de vie passe. Pour trouver ce chemin de vie, il faut des pierres angulaires qui sont des guides sur le chemin. Ma pierre angulaire est d’abord ma famille, mais c’est mon travail et mes loisirs.

Ces pierres angulaires reposent sur des fondations qu’il faut construire. Elles sont faites de nos croyances. Pour certains, c’est sans doute Jésus Christ, pour d’autres c’est d’autres personnes, ou simplement quelques valeurs. Ces valeurs ne sont pas suffisant surtout en cas de difficultés plus grandes. Dans ce cas, il n’y a plus que nos loyautés qui tiennent le coup. Plus que les loyautés sont fortes, plus nous avons la chance de rester debout.

Par contre, les loyautés sont de deux natures :
– les positives : ceux qui mettent les gens debout, font confiance, sont faites de paroles encourageantes, des personnes qui cherchent l’unité sans se mettre en avant;
– les négatives : des paroles dénigrantes, des attitudes de rejet pour certains et très positives pour d’autres, une personne qui cherche à diviser les groupes pour avoir plus de pouvoir.

Malheureusement ce monde est fait de personnes qui adorent diviser pour régner, qui attisent les esprits les uns contre les autres, qui du coup travaille beaucoup dans le dos pour ne pas se faire remarquer, et ils travaillent avec des écrans de fumée. Dans l’enneagramme, il y a beaucoup de base 8 qui sont de ce type, mais aussi des base 3 par exemple. Leur leadership devient l’objet unique de leur action.

Il faut des personnes avec un charisme bien particulier : les aurors; ceux qui sont prêt de faire le travail, de perdre l’honneur pour combattre dans toute organisation les personnes qui ne travaillent pas pour le bien de tous, mais juste pour eux.

Les Hp en couple

Certains auteurs disent qu’un surefficient doit épouser une autre. Rien n’est vrai évidemment. Si déjà on savait pourquoi un couple standard tient ? Pour les surefficients un couple mix peut marcher parfaitement. Le partenaire non-sureffectient sert d’équilibre. Il régule la vie du sureffectient pour ne pas tomber dans des excès où la rapidité de son esprit pourrait le conduire. Le partenaire peut introduire plus de paix dans sa vie. Le tout est que le surefficient accepte qu’il faut ralentir. Dans notre monde qui tourne à tout visiteuse les moments de repos sont nécessaires plur garder on contact avec le vécu, pour s’enraciner dans la terre que le surefficient aurait tendance à oublier.

Fier d’être homme

Le livre est à recommander pour tous les hommes mâles et forcément les femmes qui veulent comprendre les hommes.

Le livre essaie de montrer qu’on véhicule beaucoup de stérétypes dans les médias. Comme les médias ont un grand pouvoir de persuasion, c’est rentré en plus dans les opinions de tout et chacun.

L’auteur ne cesse de répéter que l’homme et la femme ont besoin l’un de l’autre et que cela ne sert à rien de noircir le tableau de l’un. Le tableau de l’autre est aussi noir.

Surtout nous vivons dans une société où les valeurs féminines sont en train de prendre le pas sur le fonctionnement masculin. Le mouvement féministe y est pour quelque chose. Forcément cela ré-équilibre mais sans exagération. Comme j’ai déjà écrit, il ne faut pas croire que les femmes d’avant le 20e siècle était et toutes bêtes et aveuglement obéissantes à leurs maris. Chaque époque a son mouvement de libération, et de défense de certains droit. On oublie toujours que l’opinion publique choisit ses valeurs et que cela change de siècle en siècle. On en perd, on en gagne.

Qu’il y a d’autres littérature que la bête et méchante contre les mecs qui ne sont que des vilains et ne devraient pas exister, il y a : the Six Intimacy Skills de Laura Doyle, auteure de The Empowered Wife et le livre The Surrendered Wife. Surtout le dernier vaut la peine. Il est indéniable que la guerre des sexes que les mouvements féministes ont commencé au 20e siècle a gagné des combats importants, mais a aussi fait détruit du tissu social de notre société, et ce n’est pas sûr que globalement nous sommes plus heureux qu’auparavant. De toute façon, on ne pourra rien y changer. Il suffit de se renseigner et de changer sa vie à soi.

Masculinité

Je viens de lire le livre de Liz Plank en anglais « For the love of man ». C’est intéressant comme point de vue d’une femme sur le monde des hommes. Par contre, quand elle que les hommes ne parle pas du fait d’être homme, c’est faux. Je le fais depuis environ 10 ans, et j’ai chaque fois des discussions très intéressantes.

Puis il faut aussi se demander si les hommes aux Etats-Unis n’ont pas un problème spécifique qui est lié aux armes et ce que cela représente dans l’image masculine.

Pour finir, une étude montre selon elle que la majorité des hommes ne demandent pas son chemin. Il veut le trouver lui-même. J’ai constaté qu’une femme demande effectivement très vite son chemin et n’a pas plus de chance de le trouver que celui qui ne demande pas. Tellement souvent, celui à qui on demande le chemin, montre un chemin qui n’est pas juste, ni connaît pas la destination, etc.

Conclusion du livre, il faut un mix des deux : un qui ne demande pas, et un qui demande. Le demander trop vite fait parfois perdre beaucoup de temps, le contraire est vrai aussi.