L’herbe est toujours plus verte à côté

C’est un dicton de ma vieille tante qui a vécu avec mon oncle pendant des années pendant que tout le monde se demandait comment était-ce possible qu’elle tienne le coup avec lui.

Bref, la leçon principal me semble qu’il faut se méfier de notre esprit. Suirtout quand l’affectif se mêle, nous sommes pris par nos pensées. Nous ne voyons qu’une côté des choses et surtout des personnes. La douche froide est alors en général garantie.

En même temps, ce sont des sentiments positifs qui nous avancent et désirer autre chose ce que nous avons. Tout notre progrès est basé là-dessus, et pour finir le principe même du désir. Le désir tend vers ce qu’il n’a pas.

Mais alors comment purement d’un point de vue psychologique défendre de passer outre ? Pourquoi nous limiter dans nos désirs ? La réponse n’a pas besoin de grand développement. Nous n’avons pas toujours la lucidité sur nous-mêmes. Ou en d’autres mots, il y a des moments dans notre vie, que nous ne voyons qu’un aspects de nous-mêmes. Nous ne tenons souvent pas non plus compte de nos désirs profonds de bonheur durable.

Ma tante l’avait comprise.

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