« Qu’importe si le chemin est long, du moment…

« Qu’importe si le chemin est long, du moment qu’au bout il y a un puits »

« Le courage de la goutte d’eau c’est qu’elle ose tomber dans le désert »

« Quand tu arrives au sommet, continue à grimper » proverbe tibétain

« Celui qui ne connaît pas le silence du désert, ne sait pas ce que c’est le silence »
proverbe touareg

« Le paysan espère la pluie, le marcheur espère le soleil et les Dieux hésitent »
proverbe chinois

« Ferme le poing et tu possèdes le vide, ouvre la main et tu possèdes le monde » proverbe zen

« Marche toujours en avant de toi-même comme le premier chameau d’une caravane » proverbe touareg

« La dune est capricieuse, elle intrigue le profane, inquiète le nomade, fait enrager le savant » Henri-Jean Hugot

« Où la terre est sèche, l’âme est aussi la meilleure » Héraclite

Dieu a crée un pays plein d’eau pour que les hommes puissent vivre et un pays sans eau pour que les hommes aient soif et un désert : un pays avec et sans eau, pour que les hommes trouvent leur âme…. Proverbe touareg

« Le désert est beau, dit le Petit Prince. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence…. »

….« Voici mon secret, dit le renard, il est très simple : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux »

Le désert ne cesse de parler à qui sait l’entendre
Nadia Tadzi

« Quand deux chemins s’ouvrent à toi , choisis toujours le plus difficile , celui qui exigera le meilleur de toi » Proverbe tibétain ( référence : « Himalaya, l’enfance d’un chef »)

Après coup

Mon grand-père disait toujours qu’après coup on fait toujours tout bien. Après coup, on a toujours une meilleure vue sur la situation, et donc on peut prendre une meilleure décision. Le truc est de prendre la meilleure décision avec les éléments qu’on a sur l’instant.

Vision de l’homme à travers l’enneagramme

L’enneagramme a une vision très intéressante qui est celui de l’approche que tout est en nous génétiquement, mais plutôt proche du comportementalisme : tout nous arrive à travers les expériences que nous faisons à différentes étapes de la vie.

Ainsi à travers les frustrations et les blessures, nous formons une genre de faux personnages pour nous défendre, pour surmonter les blessures. Ce personnage est notre base ou type. Justement la solution n’est pas de trouver un vrai moi, mais d’assumer ce personnage et de parcourir un trajets à travers les autres bases pour devenir vraiment équilibré.

L’intéressant est que la découverte de la base et d’abord une découverte de soi. En plus, une fois découverte, c’est comme si la base se renforce encore, puisque tout prend tout d’un coup sens à travers ce type. Ensuite il faut commencer à se muer, à adopter les profils des autres bases.

Enneagramme et les sous-types

Je découvre les sous-types. Cela vaut vraiment la péine de lire. Nous avons les trois tendances en nous

– instinct de la relation à soi-même : auto-conservation

– instinct de la relation de deux : la sexualité

– instinct de la relation au groupe : la vie sociale

Chacun peut découvrir le sien.

Levinas

C’est depuis longtemps que j’intéresse à Levinas.

Le mot de la journée qui me vient en tête, c’est “phagocyter” : éliminer par absorption.

Dans notre vie, nous faisons beaucoup cela. Nous éiminons l’adversaire. Pourtant, on fera bien d’apprendre l’altérité de notre adversaire.

La devise des USA

Dans Cathobel, il y a un article aujourd’hui qui montre bien la différence entre les Etats-Unis et l’Europe. Tandis qu’en Belgique le soi-disant laicisme fait enlever tous les signes religieux partout (bientôt on va faire démolir les chapelles et les croix lelong des routes publiques) …., aux USA par contre on remet justement l’accent sur le religieux : In God we trust. Jusqu’en 1956 ma devise était encore “E pluribus unum”.

La psychanalyse est la seule à reconnaitre le besoin de croire

Julia Kristeva à Assissi a dit la chose suivante :

« Il me semble que, parmi les sciences humaines, la psychanalyse est la seule à reconnaître la légitimité du besoin de croire. J’entends par là un besoin anthropologique qui est préreligieux, que l’on va retrouver dans tout enfant qui commence à parler ».

« Les liens que la religion exploite, affirme encore l’épouse de l’écrivain catholique Philippe Sollers, sont des liens anthropologiques que souvent l’humanisme des droits de l’Homme ne nie pas, mais n’a pas exploré, n’a pas cultivé. On s’est tourné vers le juridique, le pragmatique, les relations professionnelles, mais les relations affectives ont été un peu abandonnées ».